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L’Union Européenne devient un cartel d’Etats

Défense, commerce, écologie : la liberté est visiblement exclue

par La Rédaction
février 16, 2023
in Actualité
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L’Union Européenne devient un cartel d’Etats
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La visite de Vlodymyr Zelenski à Bruxelles mercredi dernier a pu faire illusion. Ovationné, le président ukrainien a même eu le droit de brandir le drapeau aux douze étoiles de l’Union, comme si l’Ukraine était déjà un de ses pays membres. Charles Michel, président de la Commission, et Ursula von der Leyen, présidente de l’Union, ont fait assaut de félicitations et d’amitié.

En réalité l’Union Européenne, éclatée entre souverainistes et européistes à l’occasion de la réunion de l’OTAN à Ramstein le 20 janvier dernier[1] a fait un pas de plus dans la voie de l’étatisme jacobin européen. Cette évolution n’a aucun avenir durable, car la liberté en est visiblement exclue, de sorte qu’il n’y aura que deux issues : la guerre de tous contre tous, ou le choix de la mondialisation libérale.  

On peut parler de cartel

En économie et en droit, le cartel signifie une collusion entre producteurs. Le cartel a pour objectif de défier la concurrence, de partager les profits éventuels de la collusion. Un cartel n’est pas une union, parce qu’il est temporaire, propre à un contexte particulier. Il est précaire, parce qu’un membre du cartel peut s’en séparer s’il n’y trouve plus avantage.

Un cartel d’Etats est assimilable à un cartel de producteurs puisque les Etats sont producteurs de règles : règles fiscales, règles sociales, normes de qualité, normes d’hygiène et santé, normes de sécurité et depuis quelque temps normes écologiques.

On comprend que par nature le cartel d’Etats va fausser la concurrence que pourraient se livrer des Etats en améliorant leurs règles. Voilà pourquoi certains ont vu dans « l’harmonisation » une réponse efficace à la création de cartels (« concurrence déloyale » selon la doctrine de Madame Primarolo). Mais l’harmonisation forcée, imposée par décrets et traités, est sans effet positif, alors que la libre concurrence débouche nécessairement sur la pratique la plus avantageuse pour la clientèle : tous les producteurs vont s’aligner sur ce qui se fait le mieux au moment t, sachant que le mieux sera encore mieux aux temps t+n : aujourd’hui il n’y a plus de manivelle pour faire démarrer les automobiles.

Le cartel de la défense

A propos de l’Ukraine on est passé à Bruxelles au cartel des armes. Si l’on excepte les pays limitrophes de la Russie, les Etats ont convenu qu’il leur était impossible de s’engager davantage dans le soutien à l’Ukraine, notamment en fournissant les avions réclamés avec talent et conviction par Zelenski. Les Etats ont trouvé les arguments nécessaires : d’une part ils ne peuvent se dépouiller des armes dont ils ont besoin pour la défense de leur propre population (argument souverainiste), d’autre part la livraison exigerait des délais qui mèneraient bien après la bataille aujourd’hui engagée (argument stratégique).

L’argument souverainiste est ridicule, dans la mesure où aucun Etat européen, y compris l’Etat français aujourd’hui le mieux armé, ne peut se défendre tout seul. Le fait de disposer de l’arme nucléaire n’implique pas l’usage de cette arme dont le seul effet réel ne peut être que dissuasif ; pour les pays occidentaux l’apocalypse nucléaire est une hypothèse aujourd’hui exclue. On doit donc admettre que la défense souverainiste n’existe plus aujourd’hui, et que pour l’instant seule l’OTAN peut défendre l’Ukraine contre la Russie. Encore faut-il qu’à l’intérieur de l’OTAN les pays membres s’entendent, or entre Etats Unis, Angleterre et Etats de l’Union il y a plusieurs degrés d’engagement dans la belligérance.

Quant à l’argument stratégique, il n’a cessé de varier depuis un an. Plusieurs Etats ont voulu aller vite dès le début, d’autres ont exigé des délais. Le mois dernier Il y a eu le grand écart sur les chars lourds, avec le décalage entre l’Etat allemand et la plupart des autres membres de l’Union à propos des Léopard 2. Actuellement les frappes russes massives avec des missiles expédiés depuis les territoires de la Russie et de la Biélorussie posent en effet la question d’une intervention aérienne des Ukrainiens à l’extérieur de leur frontière – et Poutine agite la menace nucléaire.

Un cartel de la défense est donc inefficace, la défense de la liberté des Ukrainiens et des Européens exige une coordination durable des forces armées, tout en œuvrant le plus vite possible à une intégration durable. Cet impératif s’impose aux Américains, qui ne sont pas à l’abri de quelque attaque extérieure ; mais il implique aussi que l’on cesse de considérer les Américains comme des impérialistes désireux de régir l’avenir du monde libre. Or, l’anti-américanisme est un réflexe inné chez les gouvernants des Etats européens.

Le cartel du commerce

Les Européens n’ont pas tout-à-fait tort, car la tradition isolationniste est très forte à Washington. Certes la doctrine de Monroe (« l’Amérique aux Américains ») a pris naissance contre la visée de Jefferson qui voulait revenir à un genre de protectorat anglais alors que les Américains regardaient surtout du côté de la Révolution Française. Mais elle s’est affirmée à plusieurs reprises dans des contextes différents, parce qu’aux Etats Unis il faut un accord fédéral pour pactiser avec l’étranger : le Sénat américain a refusé l’entrée dans la Société des Nations souhaitée par le Président Wilson, l’engagement dans la deuxième guerre mondiale ne s’est fait qu’en 1942 après Pearl Harbour. L’indépendance énergétique acquise grâce aux gaz de schiste, le lobby des paysans, les excès de la concurrence chinoise et la crainte de l’immigration mexicaine ont recréé toutes les conditions d’un renforcement protectionniste. Le « buy american act » ressuscité par Obama a été renforcé par Trump, puis en octobre dernier par Biden, la législation sur le fer et l’acier (AIS) et sur les produits agricoles est toujours en vigueur.

A ce protectionnisme veut répondre le protectionnisme européen. France et Allemagne sont à la tête de la résistance, et la réunion de Bruxelles s’est terminée par une violente attaque contre les Etats Unis, notre Ministre de l’Economie Bruno Le Maire s’est mis en vedette. Cela correspond à la volonté de l’Union Européenne de réindustrialiser les pays menacés par les Américains et les Chinois, puisque les Allemands eux-mêmes, leaders emblématiques de l’exportation industrielle, rencontrent des difficultés croissantes.

Les attaques contre le libre échange ont toujours été fatales. On ne peut oublier que la deuxième guerre mondiale a été précédée par une guerre économique sans merci. En 1938 le volume du commerce mondial s’était effondré de plus de 80 %par rapport à celui de 1925. On y a vu la fin du capitalisme, mais en réalité c’était surtout la renaissance d’un nationalisme des deux côtés de l’Atlantique : les Etats Unis de Hoover et Roosevelt (qui aggrave le chômage, contrairement à ce qu’on croit), l’Allemagne malade des réparations et de l’inflation et se livrant à la folie nationale-socialiste d’Hitler. Le commerce mondial n’a subsisté qu’avec des accords de compensation en nature signés par les Etats. Le nationalisme économique conduit inéluctablement au nationalisme politique et populiste, et c’est ce qui a inspiré aux Alliés vainqueurs en 1944 la volonté de revenir au libre-échange le plus large possible. Il a fallu aussi revoir le système des paiements internationaux avec Bretton Woods, mais la confiance faite au dollar a été une erreur cher payée jusqu’à son abandon en 1971.

A l’heure actuelle les mesures protectionnistes sont à l’honneur, avec les records pour les Chinois, les Russes, les Américains (à eux seuls 20 % des mesures) et les pays du BRICS. Leur nombre est en décroissance depuis quelques années, mais simplement parce qu’elles ont été déjà prises depuis longtemps ! Le protectionnisme est le plus souvent accompagné par les politiques keynésiennes de relance.. Keynes lui-même était partisan de « l’auto-suffisance » nationale, une idée qui refleurit dangereusement aujourd’hui.

On peut mesurer ici l’échec de l’Europe des libertés. Le traité de Rome avait fait un choix très net en faveur du libre-échange : les Français craignaient pour leur agriculture, et ont cru la sauver avec la Politique Agricole Commune (qui en fait a ruiné durablement la paysannerie française), mais ils ont accepté le libre-échange industriel désiré par les Allemands. De la sorte un Tarif Extérieur Commun a été prévu pour se protéger des importations américaines, mais moins de trois ans plus tard le TEC a disparu, de sorte que le libre-échange industriel mondial s’est installé, et explique la formidable croissance et la hausse du pouvoir d’achat des Européens. Les négociations dans le cadre du GATT (Accord général sur les tarifs et le Commerce) ont abouti à supprimer la plupart des droits de douane, des licences d’importation. Au sein même du commerce européen, on a admis le principe de la « mutuelle reconnaissance des normes » (l’arrêt Cassis de Dijon de la Cour de Justice européenne a reconnu que c’est la norme du pays producteur qui doit être acceptée par le pays importateur). De la sorte la concurrence entre producteurs des divers pays s’est renforcée et les consommateurs européens en ont bénéficié.

Le changement de décors s’est fait depuis quelques années : à l’intérieur même de l’Union Européenne, certains produits étrangers ne sont pas acceptés parce que non conformes aux normes nationales. La semaine dernière les betteraviers français ont défilé en tracteur dans les rues de Paris parce que la législation française les pénalise en interdisant l’usage des « néonicotinoïdes » autorisés à la plupart de leurs compétiteurs étrangers.

Nous voici donc désormais soumis à de fréquentes et difficiles négociations non seulement entre pays du monde entier, mais aussi au sein de l’Union. La dérive est inéluctable avec la multiplication des divergences entre Etats à propos des règles fiscales, sociales, et évidemment écologiques. L’espoir d’une mondialisation économique et pacifique né avec la chute de l’empire communiste en 1991 est donc perdu, et avec lui les avantages du libre-échange, de sorte que le souverainisme et le populisme sont en honneur et menacent et la croissance et la paix dans le monde entier.

Le cartel écologique

C’est le plus récent, mais sans doute le plus menaçant aujourd’hui. D’abord parce que les normes écologiques constituent une arme nouvelle et efficace du protectionnisme. Ensuite parce que l’écologie punitive est devenue une affaire mondiale. Les Etats se sont engagés dans les COP successives, mais naturellement les généreuses réglementations prévues ne sont respectées que par ceux qui le veulent bien.

Il ne faut pas perdre de vue que derrière l’alibi écologique il y a la volonté politique de mettre fin au capitalisme et à la mondialisation marchande. L’alibi est simple : c’est en voulant accélérer les échanges qu’il y a surplus inutile de production, trop d’usage de l’énergie naturelle, et trop de pollution liée aux transports. Le réchauffement climatique, d’après les thèses de ces écologistes, serait d’origine humaine, et les hommes seraient à leur tour aliénés par le système économique.

L’Union Européenne prétend donner l’exemple des politiques qui d’une part pénalisent les pollueurs, d’autre part accélèrent la transition énergétique vers le « renouvelable », alors que les richesses naturelles seraient en voie disparition. Evidemment rien ne prouve que les hommes seraient incapables d’inventer de nouvelles énergies, mais le principe est que seuls les Etats, et mieux encore seule l’Union Européenne, ont la vision et la stratégie voulues pour sauver la planète et rassurer les générations futures.

A Bruxelles il a donc été prévu d’accélérer la transition. Il est curieux de mener simultanément une croisade d’un côté pour la réindustrialisation et la compétitivité internationale et d’un autre côté une politique de repli sur les produits locaux, voire même de retour à une société antérieure au 18ème siècle. La transition a aussi le handicap d’être coûteuse, et c’est là que le bât blesse. L’Union Européenne s’est engagée financièrement pour l’Ukraine, pour la réindustrialisation, où trouver les fonds pour la transition ? La pression des Verts de tous pays s’accentue : l’écologie serait-elle le parent pauvre ? La question devient d’autant plus cruciale qu’un conflit existe entre les pays « frugaux » et les pays très endettés. La France est réellement mal placée : d’une part son Président a choisi de donner priorité à la transition énergétique dans son programme mais d’autre part  il a alourdi considérablement la dette publique en quelques mois « quoi qu’il en coûte ». Le cartel a pour l’instant du mal à se constituer, d’autant plus qu’il n’y a aucun partenaire étranger réellement intéressé par les fumées des centrales électriques à charbon qui se multiplient en Europe.

Le cartel de l’écologie est donc d’autant plus inquiétant qu’il est loin de pouvoir se constituer. Il ne peut exister qu’entre les pays de l’Union, et le reste du monde y sera nécessairement étranger. Donc il ne peut exister que de deux façons : ou bien des normes écologiques nationales, qui seront un obstacle au « marché commun » (ou ce qu’il en reste) ou bien une réglementation et un financement communautaires qui recevraient l’accord de tous les Etats. Un accord sur la réglementation semble difficile, et un accord sur le financement impossible (il n’est même pas possible de dévaluer l’euro puisque l’euroland ne couvre pas tous les pays de l’Union).

Aucun avenir durable

Comme tous les cartels ceux qui se créent actuellement dans le cadre de l’Union Européenne n’ont aucun avenir. S’ils se constituent et s’appliquent pendant quelques années (voire quelques mois) ils ne peuvent que dégénérer en explosion mondiale : les agressions des dictatures contre les pays libres se poursuivront, la croissance mondiale sera bloquée, pauvreté et précarité progresseront, le mécontentement et la révolte se répandront dans la plupart des peuples, les Etats agiteront les peurs et renforceront leur pouvoir.

Il faut donc souhaiter que l’autre issue sera alors possible : que les peuples des pays dits libres retrouvent leur liberté et remettent leur Etat à sa juste dimension : la plus petite possible. Alors les dictateurs auront conscience d’avoir en face de leur impérialisme un bloc organisé de défense commune. Alors le « doux commerce » fera son office : il y aura compréhension entre les peuples du monde entier. Alors la peste verte sera guérie et l’environnement sera préservé par les initiatives des êtres humains maîtres de la nature.  

Apocalypse d’un côté, utopie de l’autre ? La liberté n’est pas une utopie. C’est un projet pour des gens lucides. Mais c’est un projet exigeant : il faut avoir le courage de rompre avec la servitude, mais aussi d’assumer ses responsabilités et de prendre des initiatives privées et civiques.



[1] Cf notre article « L’Europe éclatée » publié le 23 janvier (catégorie Actualités)

Tags: PolitiqueUnion Européenne
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