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Du mystère des syndicats au syndicalisme libéral

Le mystère : Qu’est-ce qui explique leur puissance et leur nuisance ?

par Jacques Garello
janvier 2, 2023
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Du mystère des syndicats au syndicalisme libéral
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Je me fais un devoir de dissiper le malentendu que mon article sur le syndicat « libéral » des contrôleurs de la SNCF a créé[1]. Je n’ai évidemment aucune sympathie pour cette poignée de cheminots qui ont arbitrairement pris des centaines de milliers de Français en otages. Mais il ne faut pas plaisanter avec les choses sérieuses, et j’ai eu le tort de faire de l’humour avec ce qui a été considéré comme un scandale aux yeux de la majorité des gens. De la sorte, mon article a pu faire scandale à son tour.

Cela dit, je prends maintenant un risque considérable, car il n’est pas bon de dire du mal des syndicats et des syndicalistes : leur puissance interdit de dénoncer leur nuisance.

En 1981, avec mes collègues « nouveaux économistes » Bertrand Lemennicier et Henri Lepage nous avons proposé aux Presses Universitaires de France le manuscrit d’un travail de nature scientifique et universitaire sur le syndicalisme. Nous avions suggéré pour titre de l’ouvrage « Le mystère des syndicats », puisque nous nous posions la question : d’où vient le pouvoir considérable détenu par une minorité de personnes sur l’ensemble de la population, sur l’économie, sur le chômage, sur la croissance ? Une question qui n’était pas nouvelle dans les sciences sociales : d’éminents intellectuels (dont plusieurs prix Nobel) se l’étaient posée aux Etats Unis, en Angleterre et dans les pays scandinaves, où le syndicalisme occupait une place plus importante encore qu’en France. Au fond, notre travail était banal…

Mais l’éditeur, pourtant bien conscient de la qualité de notre manuscrit, a refusé le titre que nous avions proposé : inconvenant et agressif sans raison, il fallait lui préférer « Cinq questions sur les syndicats », politiquement correct[2].

Car la puissance des syndicats est maintenant institutionnalisée dans le système démocratique des pays libres, voilà pourquoi on associe syndicalisme et liberté, et cela vaut interdiction de le remettre en cause.

Sans réécrire un ouvrage qui garde malgré ses imperfections un intérêt très actuel, je voudrais résumer les « cinq questions » qu’il faut se poser pour percer le « mystère des syndicats » :

Pourquoi des syndicats ? Droit du travail ou droit au travail ? Les syndicats ont-ils une influence sur le chômage, les crises ? Apportent-ils quelque chose à la démocratie ?

Pourquoi des syndicats ?

Question historique, mais aussi idéologique et économique. Le prestige des syndicats est né de la critique du capitalisme, et repose sur un postulat : le travail échappe aux lois du marché.

Derrière le syndicalisme il y a Marx et la lutte des classes : d’un côté le propriétaire exploiteur et de l’autre le prolétaire exploité. Le syndicalisme est la réponse à cette injustice. Le travail, source de toute richesse dans la pensée marxiste héritée de Ricardo (qui se réclamait lui-même à tort d’Adam Smith) n’est pas rémunéré à sa juste valeur parce que l’employeur impose des salaires inférieurs pour se gaver de profit. Le déséquilibre semble inéluctable : l’un des contractants a le temps et l’argent pour lui, l’autre doit accepter les conditions qui lui sont offertes. C’est un déséquilibre entre offre et demande, donc la loi du marché est inapplicable, le salaire n’est pas un prix et le travail n’est pas une marchandise. Evidemment ces idées sont devenues courantes, même si elles n’ont aucune consistance réelle :

  1. Le travail n’est pas le seul facteur de production : il y a non seulement le capital, c’est-à-dire l’investissement d’une richesse existante née d’une activité durable, mais aussi et surtout l’art d’entreprendre, c’est à dire de comprendre quels sont les biens et services que l’on peut proposer pour mieux satisfaire les besoins de la communauté. Ce dernier facteur, considéré longtemps comme « résiduel » a en réalité un poids croissant dans la valeur de la production.
  2. Il y a autant de salaires que d’individus, car le « capital humain » (la personnalité de la personne employée) a une importance considérable dans la rémunération perçue. Cette importance varie avec la formation, l’âge, l’expérience, la qualification. Il ne saurait y avoir de salaire unique, l’égalitarisme efface la personne et gomme l’utilité des efforts.

Droit du travail ou droit au travail ?

Le syndicalisme serait une réponse à l’injustice, et la défense du faible contre le fort. Le contrat individuel serait nécessairement asymétrique, ainsi faut-il lui substituer le contrat collectif. Ainsi va naître un « droit du travail » qui échappe à la logique contractuelle qui met habituellement en relation deux individus égaux. Le syndicat devient alors « partenaire social », il va détenir progressivement le monopole de la négociation salariale. Pour des raisons évidentes il est plus juste que la négociation se situe au niveau le plus élevé : pas celui de l’entreprise où l’emprise de l’employeur est la plus forte, ni même au niveau de la branche d’activité où le corporatisme demeure, mais au niveau national (ou « confédéral »).

Ce droit du travail collectiviste explique la démarche syndicale, fondée sur le cartel de l’embauche :

  1. Les travailleurs syndiqués ont intérêt à bloquer l’embauche de nouveaux salariés qui seraient prêts à accepter des salaires inférieurs et seraient accueillis à bras ouverts par les employeurs.
  2. Le syndicat détient le monopole de la représentation salariale, et il aura pour « partenaire » les instances patronales, qui sont organisées autour des grandes sociétés ; petites et moyennes entreprises s’aligneront sur les contrats collectifs.
  3. La représentativité du syndicat n’est garantie que par la loi : peu importe le nombre des adhérents. Dans certains pays (Etats Unis) les salariés sont prêts à payer des cotisations syndicales élevées pour garantir des salaires élevés. Dans d’autres pays (comme la France) le financement des syndicats vient d’autres sources, mais elles doivent être discrètes dans les entreprises privées. Le rapport Perruchot (2010-2011) sur le financement des syndicats par le patronat n’a jamais été examiné par le Parlement. Par contraste, les salariés du secteur public bénéficient d’un statut à vie et la pérennité des syndicats est assurée par les finances publiques.
  4. Le droit du travail est contraire à l’état de droit puisqu’il prive les individus de la possibilité de passer librement un contrat. Le propre du contrat est de concilier des intérêts opposés, c’est la « catallaxie »[3] : transformer en accord des situations conflictuelles.

De la sorte, c’est la fermeture du marché du travail qui résulte de l’action syndicale. Le droit du travail supprime le droit au travail (conçu comme la possibilité d’accéder à un emploi) : celui qui n’est pas représenté syndicalement n’a aucune chance d’être embauché. L’emploi ne saurait être « précaire », puisqu’il implique des salaires inférieurs et une concurrence sauvage entre candidats à l’emploi. Donc, la porte de l’emploi, par CDD ou CDI, est fermée.

Les syndicats ont-ils une influence sur le chômage, sur les crises ?

Les syndicats défendent leur action en prétendant œuvrer pour le plein emploi et pour la stabilité économique. Ici le marxisme se marie avec le keynésianisme : des salaires plus élevés stimulent la demande, les carnets de commande des entreprises se remplissent et les emplois sont créés.

Non, les emplois ne sont pas créés, cela se prouve statistiquement, mais surtout cela s’explique économiquement

  1. Le chômage a diminué dans les pays où la pression des syndicats a été amoindrie : les politiques de Thatcher (les mineurs) et Reagan (les contrôleurs aériens) ont assuré durablement le plein emploi – mais elles ont été abandonnées ensuite pour des raisons politiques, que j’évoquerai plus loin.
  2. Il a fallu compenser l’action syndicale en mettant en place l’indemnisation du chômage : privés de leur droit au travail les personnes sont prises en charge par les finances publiques, c’est-à-dire les contribuables
  3. La loi de Say explique que la croissance s’entretient d’elle-même quand les entreprises proposent des biens et services qui correspondent à l’attente des consommateurs : la production crée des débouchés pour des activités innovantes. Par contraste Hayek dénonce le « mal investissement » : les fonds publics vont à des usages non marchands et entretiennent gaspillages, privilèges et corruption. Jacques Rueff parlait de la distribution de « faux droits » : un pouvoir d’achat distribué sans contrepartie réelle, un droit sur le travail des autres.
  4. Comme toujours les déficits publics conduisent à l’inflation : « trop de monnaie chassent après trop peu de biens »
  5. Toutes les crises économiques et sociales sont nées de l’interventionnisme croissant des pouvoirs publics : Roosevelt a prolongé et aggravé la crise ouverte en 1929 par Hoover qui a voulu éviter l’effondrement boursier né de la spéculation à Wall Street (elle-même anéantie par le retrait des fonds américains en Allemagne) . La crise de 2007 a été provoquée par les « subprimes » imaginées par Bill Clinton pour encourager les banques à financer l’achat de logements pour des personnes à faible solvabilité, et aggravée par G.W.Bush qui invite la Federal Reserve à refinancer les banques en difficulté, et prolongée à partir de 2008 par Obama, Sarkozy et tous les « relanceurs » qui croient sortir de la crise avec les déficits budgétaires.

Les syndicats apportent-ils quelque chose à la démocratie ?  

Voici finalement la vraie question. Et la vraie réponse est donnée par l’étude des « décisions publiques » (public choice) : la classe politique a pour objectif majeur et permanent le calendrier électoral, les partis veulent conserver ou acquérir le pouvoir à l’occasion des prochains votes.

Or, les syndicats sont des alliés très efficaces dans ce jeu électoral. Ils ne sont pas tellement des agents électoraux, mais ils ont une influence sur le climat politique par leurs initiatives : les manifestations, les grèves, les couvertures médiatiques. Leur action contribue à influencer les gens qui vont penser que tout va à peu près bien (pouvoir d’achat maintenu, moins de chômage) ou que tout va très mal (inflation, désordre). La balance est donc entre confirmer les dirigeants ou les remplacer.

Les artisans du public choice vont également démontrer que le jeu électoral, surtout dans les situations de bi-partisme, est très serré : c’est finalement « l’électeur médian », celui qui n’a pas d’opinion bien arrêtée, qui peut changer l’issue du scrutin. « La République doit être gouvernée au centre » disait Giscard d’Estaing. En écho, Emmanuel Macron met la droite et la gauche « ensemble et en même temps ».

On peut réellement se demander ce que devient la démocratie quand le pouvoir est attribué à des candidats qui ne représentent qu’une infirme partie de l’électorat. On peut même s’interroger, comme le faisait Benjamin Constant, sur l’erreur fondamentale qui consiste à voir la démocratie comme la loi de la majorité (« le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » de Lincoln) au lieu de la tenir pour la protection de la minorité, et de la plus petite minorité qui soit, celle de l’individu. Pouvoir d’une caste ou protection des droits individuels ? Constant opposait ainsi la « démocratie des anciens » (Athènes) et la démocratie des modernes (Etats Unis de 1777)[4]

Syndicalisme et libertés

Je ne veux pas conclure cet article sur une note négative. J’ai en effet bénéficié d’une chance inouïe dans ma carrière universitaire : de 1968 à 1981 j’ai partagé ma vie professionnelle entre la Faculté et les entreprises. Comme d’autres professeurs j’ai pensé que 1968 marquait la fin des « mandarins » et j’ai failli démissionner ; mais le hasard m’a fait rencontrer des entrepreneurs et des personnalités qui m’ont demandé de m’intéresser à la formation économique du personnel, fortement endoctriné par la propagande cégétiste hostile à toute harmonie dans l’entreprise. L’ignorance économique et comptable des Français donnait à la CGT une clientèle toute trouvée. Mais à cette époque il y avait aussi nombre de syndicalistes qui ne partageaient pas la doctrine syndicale révolutionnaire et comprenaient la nécessité d’un dialogue social pacifié. C’était le cas en particulier d’André Bergeron, à la tête de Force Ouvrière, Vice-président du Conseil Economique et Social. Du côté patronal, plusieurs chefs de grandes entreprises étaient séduits par les idées de participation, j’ai même mené des études avec l’Association pour la Participation dans l’Entreprise.

Ma chance a donc été de rencontrer (avec mon équipe de formateurs aixois) pendant plus de dix ans le personnel (et plus souvent les ouvriers et employés que les cadres) et les syndicalistes (tous syndicats confondus, y compris la CGT ). Les leçons que je tire de cette expérience sont les suivantes :

  1. Aucune entreprise ne ressemble à une autre. Par exemple la pratique de la participation, voire même de la cogestion (la « mitbestimmung » allemande) varie considérablement suivant la taille, l’activité, etc. Dans ces conditions, une loi pour l’organiser (Debré) n’a aucun sens, c’est encore la volonté politique de centraliser, uniformiser, au prétexte de progrès social. Le progrès social doit s’accommoder avec la liberté d’entreprendre et d’échanger.
  2. Beaucoup d’entreprises ont réussi en faisant davantage de place aux initiatives personnelles : travail enrichi, boites à idée et suggestions, individualisation des tâches, formation, etc. Le collectivisme n’entraîne au contraire que le tribalisme et le despotisme. Il existe donc un goût du travail personnel bien fait, contrarié il est vrai par les lois socialistes et démagogiques qui ont souvent désappris le travail et magnifié la paresse.
  3. Le besoin de connaître l’économie est une attente généralisée, des syndicalistes très engagés sont capables de faire la distinction entre économie et politique

Ma conclusion se ramène donc à un principe libéral de base : le respect de la diversité, l’importance de l’épanouissement des capacités personnelles, le respect des autres. Oui,  il peut y avoir un syndicalisme libéral !

[1] Article paru à la une de Contrepoints le 23 décembre 2022

[2] Cinq questions sur les syndicats Jacques Garello, Bertrand Lemennicier, Henri Lepage, PUF, éd. Paris 1981

[3] Ludwig von Mises, L’action humaine

[4] Mais en revanche Tocqueville ne croyait pas que le gouvernement représentatif puisse perdurer même aux Etats Unis,, il avait raison à mon sens.

Tags: LibéralismeResponsabilitéSocialSyndicalisme
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