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Des libéraux en nombre, mais pour quel libéralisme ?

Vieille question, mais quelle bonne réponse ?

par Jacques Garello
avril 9, 2024
in Fondamentaux, Personnalités
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Des libéraux en nombre, mais pour quel libéralisme ?
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Depuis 1988 j’ai passé mon temps à expliquer le libéralisme à ma façon. Même au sein du groupe des Nouveau Economistes que nous avions formé à cette époque les différences étaient sensibles[1]. Mais je me réjouis de ce que la nature d’une révolution libérale revienne à l’ordre du jour., et avec elle la question : quel libéralisme ?

Le Figaro Magazine de cette semaine a donné à son article le titre essentiel : “Plus dure sera la chute” mais un sous-titre est révélateur : c’est maintenant l’heure du choix. Et le choix semble bien être libéral, puisque le magazine a eu le mérite d’inviter quatre directeurs de think-tanks classés comme libéraux. Ces quatre notables institutions ont été en plein accord sur une même idée : trop de dépenses, trop de déficits, trop de dette publique.

C’est aborder le libéralisme dans sa version économique et politique, et cette approche ne dit pas ce qu’est le libéralisme, mais ce que le libéralisme rejette et contre quoi il se bat. Partisans d’un Etat minimum, les libéraux ne croient pas à la fable keynésienne suivant laquelle plus il y a de dépenses gouvernementales, plus il y a de croissance en perspective ; en réalité c’est l’inflation et le chômage qu’on récolte, immanquablement.

C’est une approche importante du point de vue politique, elle permet de dire que le libéralisme n’est pas le socialisme. Mais du point de vue scientifique la richesse du libéralisme n’apparaît pas dans toute sa dimension.

Despotiques, Populistes, Libertariens

Je remarque cependant que cette approche, fût-elle appauvrie, permet en France d’exclure du libéralisme beaucoup de personnes qui se disent libérales.

Ils sont nombreux autour d’Emmanuel Macron, souvent venus de la droite. Ils pensent qu’il faut que l’Etat prenne sérieusement les choses en mains pour défendre et restaurer la liberté : le salut vient toujours d’en haut (top-down), à l’Elysée et à Bercy on pense à tout.

Venus de tous horizons politiques les populistes imaginent qu’un coup d’Etat est nécessaire pour sauver les libertés. Si l’Etat confié au gouvernement actuel est incapable de faire ses comptes, mais aussi de maintenir l’ordre public et d’assurer la sécurité, il faut et il suffit de changer de gouvernement ! « Il faut restaurer l’Etat » dit Marine Le Pen, mais elle est honnête : elle ne se dit pas libérale et comme d’autres elle accuse le néo-libéralisme ou l’ultra-libéralisme.

Le libéralisme se déforme aussi dans l’esprit des libertariens, qui estiment que les individus sont propriétaires de leur corps et de leurs choix personnels, et que l’ordre public est une coercition arbitraire et néfaste. Ils ignorent que le libéralisme n’exclut ni l’ordre ni la coercition. Certes les libéraux sont ennemis de l’ordre créé d’en haut, mais ils connaissent les bienfaits de l’ordre spontané, de ces règles du jeu de la vie en société nées de l’expérience, puisque nous améliorons nos institutions à travers un jeu d’essais et d’erreurs[2]. Quant à la coercition, il faut bien qu’elle s’exerce pour faire respecter la liberté des personnes et la propriété des biens, une solution est de la confier au monopole de l’Etat (on peut faire mieux).

 Il n’y a pas de liberté sans responsabilité. L’économie de marché nous oblige à servir la communauté. Ces deux maximes libérales montrent la différence entre libéraux et libertariens

Trop d’Etat, trop de fonctionnaires, trop de services publics

Voilà ce qui est commun aux quatre discours, mais avec des arguments variables.  

Pour l’Institut Sapiens (Olivier Babeau) le nombre aberrant de nos fonctionnaires[3] représente un vrai gaspillage de capital humain. Les fonctionnaires ont un statut qui prévoit l’avancement à l’ancienneté, qui garantit des retraites plus avantageuses que celles du régime général. Il n’y a dans leur emploi aucune référence à la responsabilité, ni à la créativité. On comprend ce que pourrait donner ce capital humain s’il était utilisé dans des firmes privées. Contribuables Associés (Benoit Perrin) met en évidence les gaspillages publics, la débauche de matériel, le manque de communication entre services, le fait qu’une multitude d’organes se chevauchent, par exemple dans les activités du logement. La Fondation IFRAP (Agnès Verdier Molinier) calcule toutes les économies[4] que l’on pourrait réaliser si on gelait un point de fonction publique, si on retardait les avancements de carrières dans les trois fonctions publiques, si les salaires prévus dans les contrats entre ministères et collectivités locales étaient stabilisés. Elle remarque aussi le coût bien plus faible de l’enseignement privé par rapport au public[5] et le surcoût des hôpitaux publics. L’IREF (Nicolas Lecaussin) insiste sur la nécessité de réduire la taille de l’Etat en le cantonnant dans ses missions régaliennes (ce qui représente 6 % du budget de l’Etat)[6]. La solution c’est privatisation et concurrence. La plupart des services publics peuvent être assurés par des entreprises privées (par exemple l’école, avec des chèques éducation), la santé, le logement, les transports, etc.) et même dans son, activité propre l’Etat doit pouvoir faire appel à des partenaires privés.

Aucun contrôle de la dépense publique

La façon-même dont ladite « loi de finances » est conçue et votée exclut tout contrôle par les Parlementaires, représentants (théoriques) du peuple et des contribuables. C’est l’Etat qui a la main sur cette « loi », c’est Bercy  qui la propose à partir de statistiques fournies par l’INSEE, un monopole public[7].

Voilà sans doute pourquoi aucun budget n’a été voté en équilibre depuis 1974 (Giscard d’Estaing) et pourquoi depuis 2017, année de l’élection d’Emmanuel Macron, la dette publique s’est alourdie de près de 1.000 milliards d’euros. L’Institut Sapiens demande que le Parlement joue son rôle constitutionnel et puisse évaluer les politiques publiques, et Contribuables Associés demande que soit instaurée une règle d’or budgétaire, qui existe par exemple dans les pays dits « frugaux »: interdiction des déficits budgétaires, interdiction d’emprunter. Ces pays ont souvent des excédents après exécution du budget. Contribuables Associés fait aussi remarquer qu’en de hors du budget de l’Etat les finances sociales ne sont pas contrôlées par leurs gestionnaires : la fraude sociale représente entre 8 et 20 milliards d’euros par an aux contribuables. C’est sans doute la nature-même de la gestion qui est en cause, souligne l’IFRAP : pour la santé, pour la retraite, pour le chômage on est dans une logique d’assistance au lieu de recourir à l’assurance.

Le libéralisme à géométrie variable

En dépit des rapprochements que l’on peut faire entre les présentations des divers think-tanks, l’article du Figaro-Magazine fait aussi apparaître des positions spécifiques à chacun. Certaines sont critiquables, d’autres sont bienvenues.

Critiquable l’idée de Sapiens de sous-indexer les retraites de plus de 2.000 euros. C’est un refrain hélas bien connu : faire payer les riches. Critiquable l’idée de l’IFRAP de l’allocation unique plafonnée et garantissant 90 % du SMIC : cette apparente simplification est ingérable et les libéraux s’en tiennent habituellement à un filet social financé par l’impôt (national ou local) et non par des cotisations, puisqu’il s’agit d’une solidarité nationale ou locale. Mais l’IFRAP est bienvenue quand elle met en évidence le gain qui serait réalisé dans le budget de l’éducation si on alignait les règles de gestion de l’enseignement privé sur celles de l’enseignement public[8]. Mais bloquer la valeur du point de la fonction publique est-ce justifié (le contrat passé entre l’administeration et le fonctionnaire doit être respecté) ? Est-ce même praticable ?

L’IREF est bienvenu à propos des retraites en démontrant l’urgence de passer à la capitalisation : d’une part les actifs cotisants sont de moins en moins nombreux et les retraités sont de plus en plus nombreux, d’autre part la retraite par répartition est un gaspillage de l’argent versé (et prélevé sur les salariés[9]) alors que les sommes accumulées et capitalisées permettent de financer l’investissement, et ainsi de créer emplois et revenus nouveaux.

C’est dire que nombre de libéraux français, s’ils ont le mérite de se mobiliser contre le socialisme et le collectivisme, ont encore à travailler sur un programme cohérent de réformes libérales. Je me permets de les juger parce que j’ai acquis une certaine ancienneté dans l’étude du libéralisme (voire même quelque renommée), mais aussi parce que je suis bien placé pour répondre à la question : qu’est-ce que le libéralisme ?

Du libéralisme classique au libéralisme contemporain

Ce qui est facile pour moi est de vous dire ce que n’est pas le libéralisme, ni hier ni aujourd’hui.

D’abord le libéralisme n’est pas une doctrine économique. Ses premiers artisans n’étaient pas du tout des économistes. Sans doute les pères fondateurs ont-ils été les Scolastiques de l’Université de Salamanque, qui puisent avec talent dans la pensée du « docteur angélique » Saint Thomas d’Aquin. Au 17ème siècle marqué par la « Révolution Glorieuse » en Angleterre les philosophes anglais s’interrogent sur la liberté.  Face à Hobbes qui choisit l’Etat comme gardien de la liberté, Locke va lier liberté et droits individuels : possède la condition d’homme libre (freedom) celui qui a droit à la vie, à la liberté et à la propriété. La dimension économique du libéralisme apparaît à la fin du 18ème siècle avec Adam Smith et Turgot, mais Adam Smith avait écrit dès 1749 la « Théorie des Sentiments Moraux » qui souligne que l’échange et le service des autres sont propres aux êtres humains.

Qu’on le veuille ou non, le libéralisme est dès le début une anthropologie, une idée de ce qu’est l’être humain. Jean Baptiste Say va combattre Malthus qui prédit l’apocalypse démographique et économique, il démontre que les innovations introduites par les entrepreneurs et le jeu du marché permettent d’apporter le bien-être pour tous, mais Ricardo effacera la pensée du grand économiste français en inventant le concept de rente, emprunté d’ailleurs aux Physiocrates français[10]. Désormais les écrits économiques vont être envahis par ce poison : il y a des gens qui tirent parti des efforts des autres. Le marxisme est évidemment fondé sur ce postulat. Bastiat est plus subtil, il connaît bien la logique politique : les gens cherchent à s’enrichir à travers l’Etat qui prend de l’argent à Pierre pour le donner à Paul[11]. On voit bien que progressivement la rencontre de la philosophie, du droit et de l(économie se fait, et que le comportement des individus est au cœur de la plupart des écrits libéraux. A la fin du 19ème  siècle se produit une rupture ; le « néo-classicisme » (Alfred Marshall) attribue à l’acteur économique une rationalité parfaite ; l’homo oeconomicus vient de naître. La rationalité économique permet le calcul précise, la macroéconomie, le recours aux mathématiques, les individus n’ont plus de comportement personnel. Seul Carl Menger va réagir à cette orientation qui se prétend scientifique, il lance ce qu’on appellera l’école autrichienne, mais ses premiers disciples Mises et Hayek ne s’accordent pas nécessairement.

Le libéralisme : pas d’une seule pièce 

Si je suis à l’aise pour dire que le libéralisme n’est pas un économisme, mais un humanisme, je peux aussi garantir que le libéralisme n’est pas d’une seule pièce. Cela a été visible dès la création en 1947 de la Société du Mont Pèlerin, en Suisse. D’abord il y avait des intellectuels de plusieurs disciplines, et pas seulement des économistes. Ensuite une opposition séparait les partisans de « l’ordo-libéralisme » dont le grand prêtre était Wilhelm Röpke, aux autrichiens comme Mises et Hayek, les Américains comme Friedman, Harper et Stigler ne pouvaient imaginer comme Lippmann que le capitalisme allait disparaître,  et il y avait carrément des anti-libéraux comme le français Charles Rist qui associé à Gide prônait le corporatisme.

Comme une vingtaine de Français j’ai appartenu à la Société du Mont Pèlerin des années 1970 et suivantes. Mais à l’occasion de ses congrès mondiaux ou régionaux la Société se divisait facilement entre néo-classiques, monétaristes, théoriciens de l’offre, spécialistes des public choice, historiens (comme D. North, R. Coase), et de plus en plus psychologues (Vernon Smith, prix Nobet en 2002) . Le jeu consistait à faire donner la réplique à un orateur à un autre membre de la Société, puis venait le défilé parfois très long de ceux qui n’étaient pas d’accord avec les uns ni avec les autres. Il y a eu des membres très portés sur les positions extrêmes comme David Friedman, fils de Milton.

Dans ces conditions, comment repérer les libéraux, et que pourrait être le libéralisme ? Il est certain qu’une ligne de partage importante est celle qui sépare ceux qui voient la liberté comme une fin en soi, et ceux qui la voient comme un moyen offert aux êtres humains. Il y a aussi ceux qui acceptent de se référer au droit naturel et ceux qui l’excluent (Hayek par exemple). Mais alors, que trouver de commun à tous ces intellectuels qui vivaient non seulement en harmonie, mais aussi en amitié ?

Le socle du libéralisme : comportements et institutions

Je crois que tous veulent réagir contre un mal absolu : le collectivisme, le socialisme planificateur.  Et tous veulent se mettre au service de la communauté, trouver des institutions et des réformes qui permettent de conduire les peuples à la compréhension mutuelle, de permettre aux individus d’épanouir leurs capacités et de progresser, de respecter la diversité des choix personnels. Chemin faisant, ils ont trouvé le poids de l’information et du temps dans les décisions. Milton Friedman n’est pas seulement l’inventeur de MV-PT[12] (numéro d’immatriculation de sa voiture), il est l’auteur de « Capitalisme et Liberté ». Hayek fait défiler dans « La Constitution de la liberté » toutes les approches institutionnelles. Becker met l’accent sur le capital humain , le rôle de la famille, Karl Popper sur la « grande société ».  

Après des années d’écriture sur la question, je crois que le libéralisme est d’abord un humanisme : prendre ce qui est le plus conforme à la nature de l’être humain, et comme Locke associer liberté et propriété, j’aime bien mon carré liberté responsabilité, liberté, dignité. La touche de dignité permet de constater que la liberté est ce qui permet à l’être humain d’être davantage humain – elle le conduit aussi à s’abaisser, à se dépraver. Mais si la nature de l’être humain explique son comportement, ce comportement est aussi lié à un environnement institutionnel, qui fait que les gens sont malheureux et voleurs dans les régimes de dictature heureux et généreux dans les régimes libéraux. Et sont libéraux les régimes où sont respectées quatre règles du jeu commun : le pouvoir limité, l’état de droit, la subsidiarité, le libre marché[13].

[1] Par exemple Pascal Salin était monétariste, j’étais autrichien, Lemennicier était libertarien, Lepage était publi choice, etc.

[2] Je confesse être thomiste et croire à la « connaissance négative » : les êtres humains sont faillibles, mais leur raison leur permet de corriger les erreurs commises.

[3] 22% de la population active contre 11% en Allemagne

[4] Evaluées à 6 milliards par an.

[5] 1.200 euros par an et par élève

[6] Les dépenses sociales représentent 22 fois le budget de la sécurité et 143 fois le budget de la justice.

[7] Dans la plupart des pays il existe plusieurs instituts de statistiques, la plupart privés, ils sont moins coûteux et plus libres que l’INSEE

[8] Une suggestion d’autant plus appréciable que l’enseignement privé est l’objet d’une attaque inconsidérée et mensongère de la part de la gauche.

[9] La distinction entre cotisations salariales et patronales n’a aucun sens puisque de toutes façons c’est le salaire qui est amputé. Les libéraux sont en faveur du salaire complet, et renvoie au salarié la responsabilité de s’assurer, il y gagne beaucoup.

[10] Pour les Physiocrates et Ricardo, les rentiers sont les propriétaires fonciers, pour Marx les propriétaires du capital industriel.

[11] « L’Etat est cette grande fiction sociale à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde ».

[12] M masse monétaire Vitesse de circulation de la monnaie P Niveau général des prix T volume des transactions Comme la vitesse de circulation est constante et pour une production nationale donnée, l’accroissement de la masse monétaire ne peut avoir pour effet que la hausse du niveau général des prix.

[13] On trouve tous les détails de ce chapitre institutionnel dans mon dernier ouvrage Vaccin Libéral Contre le despotisme, contre le populisme IDH éd. Janvier 2022.

Jacques Garello

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